Bonjour à toutes et à tous, j’espère que vous allez bien! On se retrouve aujourd’hui pour la chronique d’un roman que j’ai acheté à Mons Livre fin du mois de novembre dernier! J’ai eu la chance de pouvoir me le faire dédicacer par l’auteure qui est d’ailleurs, forte sympathique! Résumé On a tous envie de quelque chose, du chocolat pour certains, de l’argent pour d’autres. Et on fait en sorte que ce besoin soit comblé. Cat a envie de quelque chose de précis, sa vie à elle, cette vie qui devrait être sienne. Et elle compte bien faire en sorte d’assouvir son désir. Envier. Désirer. Obtenir. Mon Avis Alors, la première chose qu’on peut remarquer, c’est la couverture. Il faut bien avouer, elle est très belle, et très appropriée au livre. L’auteure (qui est également l’artiste ayant illustré la couverture) et l’éditrice ont fait un très bon travail sur ce point! La plume de l’auteure est fluide. Ce qui est un excellent point! Elle a un vocabulaire très varié, et pour une fois, cela n’empiète pas sur la lecture, la rendant tout simplement plus riche! En temps normal, les auteurs ayant un vocabulaire varié l’utilisent d’une telle façon que la lecture en devient désagréable alors qu’ici, la lecture restait simple! L’intrigue quant-à elle est un des points que je voulais absolument abordé dans cette chronique! Il faut dire que l’auteure a joué un grand coup dans ce petit roman! Réussir à mêlé des émotions comme celles dépeintes dans ce roman, et à de tels niveaux est très bien joué de sa part! Surtout en si peu de pages! Comme le dit Sandra TRINAME en quatrième de couverture du roman : Un roman percutant, troublant, mais surtout fascinant où l’horreur a le visage d’un ange. Le personnage principal, « Cathleen » est autant attachante que détestable… Son obsession est tout simplement… écœurante mais également, totalement compréhensible et c’est assez perturbant je dois bien l’avouer… On ne peut pas l’apprécié, mais on ne peut pas non plus y être insensible ou la haïr… Blanche nous dépeint dans ce roman une partie de nous que nous cachons tant bien que mal derrière une carapace de civilité mais pourtant elle est bien là, quelque part. Elle arrive à le tourner de telle façon qu’on ne s’en rend pas tout de suite compte et pourtant… Et ça, c’est encore une fois très bien joué, je dois le dire. Quand j’ai commencer le roman, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre, le titre, la couverture, le résumé, rien ne m’avait préparé à ce que j’allais découvrir… Les premières pages, les premiers chapitres, c’était glauque. Très glauque. Pourtant, on s’y accroche, on ne veut pas laisser le livre sans s’être avancé le plus possible dans la lecture! Il m’a fallut à peine deux heures trente au total pour le lire! Bref. Une lecture gênante, au plus haut point. Une lecture pour les âmes qui savent s’accrocher. Mais un roman qui vaut le coup, qui nous dépeint une facette de l’âme humaine que l’on sait posséder mais que nous n’aimons pas faire ressortir plus que nécessaire. Malgré le côté glauque, tourmenté,… de ce roman, ça aurait été une lecture que j’ai adoré, je ne dirais pas que c’était un coup de coeur, on en est loin! Cependant, je suivrais avec attention les prochaines sorties de l’auteure! Retrouvez également les chroniques de mes partenaires : Caelina est dans la lune
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