Il était une fois, dans une ville parfaitement ordinaire, des jumeaux du nom d'Alex et Conner... Depuis le décès de leur père, leur grand-mère s'occupe d'eux. Et lorsque celle-ci leur offre un livre qu'ils lisaient étant petits, Le Pays des contes, leur vie plutôt morose change du tout au tout. Et pour cause, ce grimoire est magique et les transporte dans un monde où les contes sont bien réels. Sauf que ce monde se révèle beaucoup moins merveilleux que celui des livres ! Boucle d'or est une criminelle activement recherchée, Blanche-Neige dissimule péniblement un lourd secret, et même le Petit Chaperon rouge n'est plus une gentille fillette. Pour s'échapper de cet univers, Alex et Conner n'ont qu'un seul moyen : rassembler huit objets magiques, parmi lesquels la pantoufle de Cendrillon ou encore des cheveux de Raiponce, tout en évitant les foudres de la Méchante Reine. Car cette dernière semble avoir un plan machiavélique... qui pourrait bien piéger à jamais les jumeaux dans cette étrange contrée. ENTREZ DANS LA LEGENDE IL ETAIT UNE FOIS... Dans ce récit, nous allons à la rencontre de deux adolescents, détruits par la mort d'un de leur parent. Ils sont très différents l'un de l'autre. Alex est studieuse, intelligente et elle n'hésite pas à le faire savoir. Conner est joueur, farceur, un peu fainéant mais toujours prêt à tout pour son prochain. Tout au long de l'histoire, nous allons les voir évoluer, se construire et déjouer mille et un dangers pour se protéger mutuellement. Le voir grandir, murir, est une des plus grandes forces de ce récit, en tout cas, à mon sens.
Avec cette histoire, nous retombons en enfance, ce qui est très étonnant. Car, même si le titre de la saga nous mets en garde, j'ai été très étonné en retombant sur des personnages que je pensais connaître alors qu'en réalité... pas du tout. Les héros des contes qui ont peuplés mon enfance sont ici personnages secondaires du récit, mais sont très différents de ceux avec lesquels j'ai grandis. En effet, l'auteur leur donne beaucoup plus de profondeur, de nuance. Ils sont courageux, mais également roublard, intelligent mais aussi colérique,... Beaucoup plus humains que ceux des contes retranscrits par Disney, auquel on peut davantage s'identifier. L'écriture de l'auteur est toujours aussi agréable à lire que lors de ma première lecture voilà quelques années. Sa plume est fluide, il y a quelques jeux de mots glissés ci et là qui sont très chouette,... L'histoire en elle-même est assez banale. Deux héros qui tombent dans un monde dont ils ne connaissent en soi pas grand chose, une quête presque impossible dans laquelle ils plongent, tête baissée, avec l'aide d'un personnage mystérieux dont on ne sait pas presque rien... Et tout ça, à un âge très jeune (une douzaine d'années ici). Cependant, bien que "stéréotypée", l'histoire est très agréable à lire, et les nombreux personnes que nous rencontrons nous replongent en enfance, ce qui nos donne le sourire durant quelques temps. De cette lecture, je retiens principalement la fraîcheur et l'innocence des personnages principaux, le regain de dynamisme des personnes de contes que l'on redécouvre dans cette histoire. En bref, une très bonne lecture, que j'ai beaucoup apprécié!
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Titre : L'aigle de Fer, tome un de Les Chroniques de Weyän Auteur : Ellen Raven Martin Maison d'édition : auto-édition Date de sortie : 24 mai 2019 Nombre de page : 567 Lien d'achat : ici ***** Résumé « Weyän, notre terre, a été noyée dans le sang ; submergée par des cendres, débris de nos espoirs anéantis. Que pleurent tous ces spectres à la face fanée, échappés au fil de Vatrish, fendeuse de morts ! Car le roi de Fer reviendra, et il se vengera ! » Paroles d’un auspice funeste. Il y a mil ans, Weyän s’inclinait face à Herlingar, le roi de Fer. Il guerroyait, détruisait ses ennemis et dirigeait son royaume avec cruauté. Arendal mena la révolte et, aidé de ses Servants, il mit fin au règne d’Herlingar. Le roi de Fer fut ainsi exécuté et son essence, scellée. À la fin de cet âge de Héros, un Ordre mystérieux fut créé et se jura de garder cette dernière. Un jour, ces Héros découvrirent combien leur acte avait mis Weyän en danger, combien ils s’étaient montrés idiots. Herlingar fut et est encore haï. Craint. Ce roi de Fer était-il vraiment un fou, ou s’agit-il là de contes pour âmes crédules ? Et si les Héros avaient menti ? « Rien ne saurait vaincre le Fer ! La fin est inéluctable ! » Mon avis Alors, pour commencer, je tiens à remercier l'auteur de sa confiance pour l'envoi de ce service presse. Je m'excuse du retard, j'ai eu du mal à terminer ce roman dans les temps à cause de mes diverses sessions d'examens et de révisions. Alors, avec cette lecture, nous entrons dans un monde à part, très différent du notre et des divers mondes que j'ai pu rencontrer au fil de mes lectures de fantasy. Weÿan est un monde étrange, où la richesse se mêle à la barbarie, où aucun héros n'est ni tout blanc ni tout noir. Dans cet univers, tout n'est que vastes nuances de gris, ce qui nous sort de nos zones de confort, nous oblige à nous immerger totalement dans ce récit, dans cet environnement afin d'en saisir toutes les subtilités. Les personnages sont très nombreux, c'est un avantage et également un inconvénient. Au fil de ma lecture, j'ai eu du mal à reconnaître tel et tel personnage, à me souvenir de quel était son rôle, l'intrigue à laquelle il était rattaché. Cela m'a gêné quelque peut, car à cause de ça, je perdais pied. Cependant, les personnages centraux, Adalind, Damhan, Venyxia,... sont extrêmement bien travaillés, très détaillés et leur profondeur les rend extrêmement humain, bien que détestable par moment (et très souvent pour certains). L'intrigue centrale est intéressante, mais entremêlée au travers d'intrigues secondaires très nombreuses, ce qui rend la lecture addictive. Il y a énormément de rebondissement dans ce récit. Malheureusement, à certains moments, nous ne savons plus vraiment où nous en sommes, nous demandant à quoi sert tel ou tel passage, ce qui est plutôt dommage, bien que nous ayons toutes les réponses à nos questions quelques chapitres plus loin, en comprenant enfin. La plume de l'auteur est particulière, il a fallut une bonne cinquantaine de pages avant que je n'y adhère vraiment. C'était trop descriptif à mon goût. Je me suis cependant rendu compte que cela était nécessaire, qu'il fallait qu'elle pose les (nombreuses) bases de son histoire, de son univers, de ses intrigues. Je m'y suis donc accommodé. Le vocabulaire qu'elle emploie est, des fois, très vieux jeux, mais totalement adapté à son récit, nous y faisant plongé tête baissée. Les points positifs que j’ai trouvés à ce roman : - des scènes de batailles très bien travaillées ; - des scènes assez dures quand il faut, où il faut, pas juste pour dire « c’est de la dark, c’est normal qu’il y en ait » ; - une plume addictive ; - des personnages forts, charismatiques, adorables ou détestables selon les cas ; - des lieux bien décrits (on s’y sentait presque!) ; - une connaissance parfaite des codes de la fantasy, ce qui fait du bien ! ; - un univers très fournit, développé, bien travaillé ; - des codes qui sont propres à l’univers qu’à construit l’auteur, sur lesquels tout le récit est basé, ce qui fait qu’on ne retrouvera pas cela ailleurs . Les points faibles de ce récit ; - des longueurs à certains passages ; - des scènes trop détaillées à certains endroits mais d’autres qui aurait mérité plus de développement ne l’ont pas été assez ; - des termes trop ancien ou trop peu usités ont alourdis inutilement des phrases ; - trop de personnages, de fonctions, de rôles,... En bref, pour une première expérience de VÉRITABLE dark-fantasy, je dois avouer avoir été conquis par cette histoire d’Ellen Raven Martin. Je conseille ce récit à tous les amateurs du genre ou à ceux qui aiment la fantasy et qui voudrait se lancer dans l’aventure de la dark avec cette histoire. Je voudrais conclure cette chronique avec ceci ; ne trouvez-vous pas que la couverture est juste sublime ? Je félicite TIPHS pour ce merveilleux travail ! Je parierais beaucoup que cette couverture va faire des ravages chez les lecteurs ! Titre : Le voyage de nos vies Auteur : Chris Colfer Editeur : Michel Lafon Lecture : contemporaine young-adult Nombres de pages : 299 Date de sortie : 25 avril 2019 Résumé Quand la réalité rejoint la (fan)fiction. Cash Carter est une star internationale. Aussi, lorsque quatre de ses plus grands fans l'invitent à se joindre à eux pour un road trip à travers les États-Unis, ils n'imaginent pas une seconde qu'il puisse accepter. Sauf que Cash est présent le jour du rendez-vous. D'abord pétrifiés par leur idole, les adolescents réalisent bientôt que leur star est avant tout un être humain comme les autres avec ses forces, ses faiblesses... et ses secrets. Pourchassés par les reporters et traqués par les paparazzis, ils découvriront, au rythme de ce voyage mouvementé, la vérité sur Cash Carter. Et sur eux-mêmes. Mon avis Tout d'abord, je tiens à remercier Michel Lafon pour l'envoi de ce service presse. Étant un fan de la première heure de la saga "Le pays des contes" du même auteur, j'avais vraiment envie de découvrir ce nouveau roman. Au début de l'histoire, on découvre Cash Carter, un acteur de série qui en a assez de la vie qu'il mène. On rencontre également plusieurs de ses fans, qui voient dans cette série un moyen d'évasion, une échappatoire à la vie qu'ils mènent, à leurs tracas du quotidien. J'ai énormément aimé ce roman. Les personnages sont authentiques, on se rend compte que tout n'est pas tout blanc ni tout noir, que chaque personne cache des secrets, parfois inavouables. Le personnage de Cash est drôle, touchant, et ce, tout en étant agaçant. C'est un drôle de mélange, mais on comprend les raisons de ses actes tout à la fin, dans les trente dernières pages. Les autres personnages ont chacun une personnalité bien définie, ce qui est appréciable, surtout quand on sait que les romans avec plusieurs personnages principaux sont assez délicat à écrire. Ici, ça a payé! L'intrigue est assez banale, rien de bien extraordinaire mais j'ai beaucoup aimé tout de même, la lecture était très rafraîchissante. La plume de l'auteur est, comme dans ses autres romans, très agréable à lire. Le vocabulaire utilisé était simple, les tournures de phrases plutôt chouette, ce qui fait que ça se lisait tout seul, que les pages se tournaient rapidement. En bref, une lecture sympa, des personnages craquants, une histoire entraînante, une plume légère et fluide. Tous les ingrédients pour passer un excellent moment! Titre : Sortilèges Auteur : Denis Labbé ME : Séma éditions Lecture : Jeunesse Pages : 114 Sortie : 22 avril 2019 Résumé Que faire lorsqu’on est une fille ordinaire et qu’on apprend qu’on est une sorcière ? A 11 ans, Lisa voit sa vie changer lorsqu’une chouette devient son professeur de magie. Le monde lui apparaît alors plus surprenant et plus inquiétant. En compagnie de ses amis, Ambre, Flora et Nathan, elle va explorer un univers nouveau et apprendre à se servir de ses pouvoirs. Mon avis Je tiens tout d'abord à remercier Séma pour sa confiance ainsi que tous les blogueurs partenaires de la maison d'éditions (nous avons réalisé une lecture commune de groupe sur ce SP). Alors, je dois dire qu'en ouvrant le livre, j'avais peur de lire un remake d'Harry Potter. Pourtant, je me suis rapidement laissé porter par l'histoire. L'auteur arrive à s'approprier les codes de telle sorte que même si on voit des clins d'oeil à quelques moments, cela ne gêne pas la lecture. Le personne principal est drôle, son professeur de magie l'étant tout autant. L'histoire se lit très rapidement, autant par la taille du roman (il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un roman jeunesse, c'est-à-dire pour les 8-10 ans), que par la plume de l'auteur qui est agréable à lire et très fluide. Il emploie un vocabulaire tout à fait adapté pour son lectorat, ce qui est un plus. Il n'est pas rare de voir des auteurs de romans "adulte" et "jeunesse" employé un vocabulaire similaire dans les deux types de romans, ce qui n'est pas le cas ici. L'intrigue est plutôt simple mais je vois cela comme un atout dans un roman de ce type. Chercher à faire compliqué, c'est un gros défaut dans un roman pour enfants, autant rester dans quelque chose de basique, de connu. L'enfant appréciera beaucoup plus de retrouver quelque chose qu'il connaît, auquel il sait s'identifier. En bref, une très bonne lecture avec des personnages drôles, une plume rafraîchissante et une histoire très intéressante qui ne laissera pas les enfants et préados indifférents! Dénoueurs de vents Emmanuelle Amadis 205 pages Sorti en aout 2018 ***** Résumé Ghyslain est mal dans sa peau. Éduqué par sa grand-mère, il se sent systématiquement en décalage avec son époque, sans en saisir pleinement la raison. Après tout, il s’efforce juste de trouver le bonheur auprès d’une personne qui serait heureuse d’accepter qu’il prenne soin d’elle. Malo est un Matagien. Son rôle est de dénouer les vents pour éviter que le monde d’en bas subisse des orages trop violents ou des tempêtes ravageuses. Pour l’y aider, il a droit à trois courts séjours sur la planète qu’il doit protéger, afin de chercher celle qui deviendra sa servante. La déception est au rendez-vous de son ultime visite dans cet autre monde. Plus que jamais, Malo redoute de ne pas trouver celle dont il a besoin pour son équilibre et sa sérénité. Presque résigné à devoir passer le reste de sa vie seul, Malo s’en remet à son Dieu et prie, espérant un signe de sa part. En réponse, Éole le place sur le chemin de Ghyslain et semble presque lui murmurer à l’oreille : écoute ton cœur, prends un servant. Malo osera-t-il encore bouleverser les coutumes ? Éole n’a pas abandonné les Matagiens, un nouveau vent souffle : c’est celui du changement et de l’acceptation. Mais Malo et Ghyslain se laisseront-ils porter par lui ? Mon Avis On se retrouve aujourd'hui pour la chronique d'un livre que j'ai reçu en service presse au début du mois de décembre. Je tiens donc à remercier l'autrice pour sa confiance et à m'excuser auprès d'elle pour ce retard! Ce livre a été pour moi comme une bouffée d'oxygène. En l'espace de six mois, mes lectures se comptaient sur les doigts d'une main. J'ouvrais un livre, lisais les trois premiers paragraphes avant de les refermer aussi secs. J'ai alors ouvert celui là, ampli d'appréhension. Je ne connaissais alors l'autrice qu'en privé, ne l'ayant jamais lu. Je suis alors tombé sur les fesses. J'ai lu un quart le soir, et le reste le lendemain, ne le lâchant que quand j'y étais obligé. Ce livre fut un vrai coup de coeur, comme je n'en avais plus eu depuis un long moment! Les personnages sont adorables et on s'y attache sans difficultés. Malo est un être innocent, tout comme la plupart des matagiens. Ghyslain est juste trop chou, un vrai ourson en peluche derrière sa carrure de rugbyman. Valou, elle, je lui ai trouvé beaucoup de ressemblance avec... moi! La plume de l'autrice est très fluide, se lit toute seule. Elle nous emmène dans son univers d'une telle manière qu'on a l'impression de vivre à travers ses mots. L'histoire en elle-même est simple, rapide, les actions s'enchaînent, nous immergeant dans le récit. La romance prend du temps à se mettre en place mais on savoure chaque geste que les deux protagonistes s'échangent, les dégustant encore plus sûrement que des petits chocolats! Oui, je suis gourmands donc c'est pour dire! Bref, un gros coup de cœur pour ce petit roman tout doux avec lequel j'ai adoré découvrir l'autrice. RésuméBruxelles en l'an 2147. Le Ministère des Affaires Anormales enquête sur une succession de meurtres étranges. Bientôt, l'inspecteur Jared Thorpe se retrouve mêlé personnellement à cette affaire, découvrant ainsi que des grandes puissances sont à l’œuvre, outre les prémices de la guerre entre vampires et loup-garous. Il y a bien plus en jeu que sa propre survie ; l'équilibre du monde est menacé. Dans cet affrontement entre le bien et le mal, Jared saura-t-il démêler le vrai du faux, trouver ses véritables alliés et découvrir le rôle qu'il aura à jouer ? Mon avisJe tiens tout d'abord à remercier L.A. Braun pour ce service presse! Et je lui présente aussi mes excuses pour le retard de cette chronique qui aurait dû paraître fin décembre! En effet, j'ai tout d'abord eu des soucis avec mon ordinateur, puis avec l'hébergeur de mon site web! Vraiment pas de bol pour elle quand on sait que son roman fut ma dernière lecture de l'année dernière!
Donc, ce roman, il est difficile de le classer. Il mélange des créatures fantastiques, avec du futuriste, des intrigues policières... Il est donc très compliqué de le mettre dans une case, on a presque l'impression qu'il en créé une rien qu'à lui seul. La plume de l'autrice (oui, c'est officiel, on peut les appeler comme cela :D ) est très agréable à lire, très fluide. Elle arrive très rapidement à nous plonger dans son univers, à nous faire vivre l'histoire au travers des yeux de ses personnages. Bien que j'aie pu remarquer quelques lourdeurs à certains moments, cela n'a en rien gêner ma lecture et j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre les aventures de notre petit inspecteur bruxellois. Ce dernier nous démontre par A + B que bien que venant d'un milieu défavorisé, il est tout à fait possible de rentrer dans les intrigues politiques et de se mêler des affaires des "grands". Je me suis d'ailleurs énormément amusé à essayer de deviner ce qui allait se passer, vu que je lis rarement du policier. J'ai été surpris de voir que de temps à autres, j'avais raisons et que quelques fois, l'autrice arrivait à me mener par le bout du nez. Les personnages sont assez attachants, même si j'en ai trouvés quelques uns aussi sympathiques que des portes de prisons. Peut-être était-ce dû au fait qu'on ne les voyait qu'aux tournants de quelques pages avant de les voir disparaître pour ne plus jamais revenir? Un autre point positif pour cette histoire, c'est que l'autrice a réussi à se créer un univers proche du notre tout en lui donnant une personnalité propre, une histoire, des termes spécifiques qu'elle a réussi à rendre tout à fait banals au fil des pages. J'ai même surpris une fois ma mère en lui demandant une tasse de "Simica" durant ma lecture. Je ne l'ai pas fait exprès mais je ne vous raconte pas sa tête, c'était épique! Dernière chose; la couverture correspond tout à fait à l'histoire qu'elle contient. Tous les éléments importants du roman y sont représentés. L'autrice n'aurait pas put mieux faire! En bref, une histoire tout à fait agréable à lire dont j'ai hâte de connaître la suite et que je recommande à tous les fans de littérature "inclassable"! Bonjour à toutes et à tous! Bon, suite au bug informatique qu’a subit mon blog et au fait que les deux chroniques que j’avais rédigées aient simplement disparues de la surface de la Terre, on se retrouve (à nouveau) pour mon avis sur la dernière sortie de Sophie Audouin Mamikonian; Nos destins inachevés. Vous devez sans doute déjà avoir entendu parler de cette auteure, connue notamment pour ses sagas Tara Duncan et Indianna Teller! Il y a même une petite série animée produite par Disney sur notre Tara nationale (même si je suis belge ahaha). Série que j’aimais particulièrement, je dis ça, je ne dis rien! Allez, c’est parti! Résumé Paris Catherine n’a pas eu le choix. Lorsque son mari a été assassiné sous ses yeux alors qu’ils s’apprêtaient à découvrir ensemble le secret du prolongement de la vie humaine, la jeune chercheuse a pris la fuite. New York Maximilien va devenir fou. Lorsqu’il découvre que la femme en charge du nettoyage de son laboratoire est une brillante scientifique, il est sûr d’avoir démasqué une espionne. Mais plus il apprend à connaître Catherine, plus il tombe sous le charme de cette femme brisée. Jusqu’à ce qu’elle disparaisse. Maximilien n’a alors qu’un but : la retrouver. Une histoire d’amour enivrante, Électrique, Éternelle. Mon avis Je tiens tout d’abord à remercier les éditions Michel Lafon pour l’envoi de ce service presse. Cela faisait un moment que j’avais envie de lire un roman de cette autrice dont j’aime beaucoup le caractère et la personnalité, sans jamais pour autant sauter le pas, bien que j’adore suivre ses péripéties sur Facebook et que les résumés me faisaient extrêmement envie. Ce roman, ce n’est pas un de ceux que j’ai l’habitude de lire et je dois dire que j’ai été très agréablement surpris par cette histoire dans laquelle je me suis directement plongée. Alors, les personnages que l’on retrouve dans ce roman sont très travaillés, le fait que l’on alterne les points de vue (tout en restant au pronom « il » ou « elle ») joue énormément sur cela, ce qui fait que l’on s’attache extrêmement vite aux protagonistes principaux. Catherine est quelqu’un d’extrêmement détruite psychologiquement et le fait que l’on l’a voit se reconstruire pour mieux s’auto-détruire et ainsi de suite est quelque chose qui nous force presque à nous attacher à elle. Pareil pour Maximilien bien qu’à un degré moindre. La plume de Sophie est extrêmement fluide et agréable à lire, avec un style tout de même assez particulier mais qui reste simple. L’intrigue est bien ficelée et haletante. On découvre petit à petit les actions des personnages. Bien que certaines d’entre elles soient assez prévisibles, cela n’a pas pour autant gêné ma lecture. Le seul point négatif de cette histoire, c’est sa fin. Je ne l’ai pas vraiment apprécié, la trouvant assez bâclée. On dirait presque qu’en l’espace de cinq pages, l’autrice a résolu la plupart de ses intrigues en les entrecroisant en un dénouement assez bancal, ce qui m’a, je dois dire assez surpris et dérangé. En conclusion, une auteure à suivre et une histoire assez sympathique. Bonjour à toutes et à tous, comment allez? On se retrouve aujourd’hui pour la chronique de ma dernière lecture du mois d’aout (oui, oui, je suis pas mal en retard mais à ma décharge, il y a une la rentrée! Je remercie les éditions Sharon Kena pour l’envoi de ce service presse 🙂 Résumé Lane City, camps de formation des Marines Américains. La violence, la sueur et les humiliations. Un beau Lieutenant, sombre et impitoyable. Un jeune soldat fragile aux motivations mystérieuses. À plusieurs centaines de kilomètres de là : l’université de Sudderland. Une arrogante jeune femme à la beauté glacée et au tempérament volcanique. Une vie confortable, un fiancé aimant, la gloire et les honneurs. Deux univers opposés, que la disparition du jeune soldat va brusquement rassembler. Car Sharon n’hésitera pas à s’engager chez les Marines pour rechercher son jumeau, présumé déserteur. Confrontée à la fois au milieu machiste militaire, à un Lieutenant sans pitié, ainsi qu’aux dérangeantes et dangereuses vérités concernant son frère, Sharon sera-t-elle capable d’achever sa quête sans y laisser son âme ou sa vie Mon Avis J’ai beaucoup aimé cette lecture, de part son thème général comme par l’ambiance du récit. Même si j’ai été un peu septique au départ face à un début auquel je ne m’attendais pas, La plume de l’auteure est agréable à lire et elle nous entraîne facilement là où elle veut nous conduire, nous happant dans son univers. Les personnages sont assez… difficile à comprendre, à apprécier. Je ne dis pas que l’auteure ne les a pas assez travaillés, loin de là! Je crois juste que c’est le fait que je n’ai pas réussi à m’attacher à eux avant d’avoir lu une bonne grosse partie du récit qui à joué. Après avoir lu une centaine de page, après avoir découvert une autre facette de sa personnalité, j’ai enfin pu m’attacher à Sharon, le personnage principal de ce récit, même si elle et ses décisions ont continuées à me désarçonner à plusieurs moment. Ensuite, en ce qui concerne l’intrigue, cette dernière est finement menée, même si on arrive à deviner quelques points clefs de l’histoire bien avant qu’ils n’arrivent. En bref, j’ai apprécié ma lecture et je lirais la suite avec entrain même si ce fut loin d’être un coup de coeur. Bonjour à toutes et à tous! Comment allez-vous? On se retrouve aujourd’hui pour la chronique d’une de mes dernières lectures, à savoir le premier tome de la saga « Les Mackintosh », écrit par Julie Dauge et (ré)édité par Evidence éditions! Je remercie d’ailleurs ces derniers pour ce partenariat! Allez, c’est parti pour ma chronique! Résumé Depuis longtemps, Laetitia rêve de découvrir l’Ecosse. Quand elle entreprend enfin le voyage, cette jeune étudiante, orpheline, adepte des sports de combats est loin de se douter qu’il l’emmènera aussi loin ; jusque dans les bras de Darren, ce beau chef guerrier highlander, au XVIe siècle ! Dès qu’il aperçoit cette belle inconnue, Darren, laird du clan MacKintosh, est subjugué. En même temps, il est abasourdi. Comment cette délicieuse créature, aux origines obscures et aux expressions si étranges, peut-elle être si effrontée dans ses manières ? Et que dire de ses tendances à jurer et à se battre aussi bien que ses guerriers ? Mon Avis Ce livre, j’en entendais parler depuis des lustres car je suivais activement les sorties de Sidh Press, l’ancienne maison d’éditions qui éditait cette saga. Quand j’ai vu qu’Evidence les ressortait, j’ai sauté sur l’occasion! La plume de Julie est agréable à lire, quoi que ses tournures de phrases sont assez étranges à certains moments du récit mais rien de bien dérangeant. C’est peut-être le fait que je sois belge et que nous tournions certaines de nos phrases différemment qui donne cette impression. Il y a beaucoup de répétions à travers le récit, ce qui alourdit le texte à certains endroits mais rien de bien dramatique en soit. Le personnage de Lilou est un personnage auquel nous arrivons facilement à nous attacher. Orpheline et arrachée à son mode de vie pour découvrir celui d’écossais vivant il y a 500 ans, ça ne doit pas être facile tous les jours! Le personnage de Darren, Laird écossais s’apparentant plus à un homme de cro-magnon (comprendra qui lira) est un personnage que j’ai aimé suivre à travers les pages! Ne me demandez pas pourquoi mais bien qu’il soit très porté sur ce qui se trouve en dessous de sa ceinture (hum hum) j’ai adoré cet ‘homme’ et sa manière de penser, de ressentir les choses. Les autres personnages sont agréables à suivre mais… certains n’ont pas assez de substances pour être suffisamment réalistes que pour qu’on s’attache à eux. Le gros point négatif de ce roman, c’est son intrigue, qui n’en est pas vraiment une car tout nous est livré sur un plateau d’argent dans les 150 premières pages du livre si on a un tant soit peu l’esprit logique… C’est dommage et ça enlève de son charme à l’histoire mais bon! L’auteure a surtout joué au jeu du chat et de la souris avec ses deux personnages principaux, au dépend du reste de l’histoire et j’espère que ça ne sera pas le cas dans les autres tomes. Bref, une lecture plaisante, une histoire que j’ai aimé découvrir mais avec des défauts que j’espère ne pas retrouver dans les tomes suivants! Bonjour à toutes et à tous! On se retrouve aujourd’hui pour la chronique de ma dernière lecture qui est le Guide de Survie pour zombie débutant! Je remercie grandement Manhon pour l’envoi de ce service presse! Résumé Salutations à tous les êtres vivants, décédés, mort-vivants… Moi, c’est Steve. Je suis ce que la culture populaire aime à décrire comme étant un zombie. Oui ça veut dire que je suis en pleine décomposition (vive le scotch double face !), que je bave comme un porc (miam !), et… oui, accessoirement, je déguste mes voisins (pas toujours proprement, c’est fâcheux). Pour tout vous dire, j’ai mis un petit moment à prendre conscience de mon état de mort-vivant… Et pourtant, ce ne sont pas les indices qui manquaient à l’appel ! Afin d’éviter que cela n’arrive à d’autres pauvres âmes égarées, et dans le but de vous simplifier l’existence (ou pas) voici le fabuleux exemplaire de mon guide (presque infaillible !) de survie pour zombie débutant ! Bonne dégustation… grrrr ! Mon avis Alors, dans ce roman comme vous l’aurez compris, nous retrouvons Steve, premier zombie (à sa connaissance) de son état, qui ne sait pas du tout comment il a fait son compte. Ca commence bien me direz-vous! Au fil des chapitres, nous allons suivre à chaque fois une aventure qui lui est arrivée. Il raconte cela de manière un brin sarcastique et ironique, se moquant des fois de lui-même. À la fin de chacun de ces chapitres, nous retrouvons un petit conseil à l’usage de tout zombie essayant de survivre dans ce monde qui n’est plus le leur (ou plus entièrement du moins). J’ai beaucoup aimé la lecture de cet ouvrage, plein d’humour. La plume de Manhon est toujours aussi agréable à lire, dans un style pourtant tout à fait différent de ce que nous avons l’habitude avec elle. Steve est un personnage attachant, quoi qu’un brin loufoque sur les bords. C’est peut-être normal, qui sait? Quand on se transforme en zombie, il le dit lui-même, les neurones dégénèrent un petit peu. Bref, un personnage attachant, une plume agréable et une histoire plein d’humour. Une lecture fraîche. De quoi passer un bon moment au bord de la plage. Mais… faîtes bien attention à ce que Steve ne soit pas là, à attendre son prochain repas… pour connaître sa présence, il suffit de regarder si des doigts de pieds ne traînent pas entre les galets 😉 Bonjour à toutes et à tous. Comment allez-vous? On se retrouve aujourd’hui après un mois d’absence (encore) pour la chronique de ma dernière lecture! Il s’agit de la troisième oeuvre de Carène Ponte, une auteure que j’ai découvert grâce à mon partenariat avec Michel Lafon. Merci à eux! Allez, c’est parti! Résumé Aimeriez-vous savoir quelle serait votre vie si vous aviez fait d’autres choix ? Prof de français au lycée de Savannah (-sur-Seine), Maxine vit en colocation avec Claudia (et ses crèmes au jus d’herbe fermenté), elle aime Flaubert (ses élèves, Stromae), courir avec ses deux meilleures amies (trois cents mètres) et aller chez le dentiste (sa sœur). Maxine croit aux signes et aux messages de l’Univers. Pourtant elle ne peut s’empêcher de se demander : « Et si j’étais allée ici plutôt que là, si j’avais fait ceci au lieu de cela, ma vie serait-elle chamboulée ? » En bonne prof de français, Maxine aime le conditionnel… Mais à trop réfléchir Avec des si et des peut-être, ne risque-t-on pas d’oublier de vivre au présent ? Et si la vie décidait de lui réserver un drôle de tour ? Mon Avis La première chose qui attire quand on voit ce roman, c’est sa couverture haute en couleur. Un peu kitch, certes, mais elle fait son petit effet tout de même. Le personnage principal, Maxine, est une jeune femme qui se pose énormément de questions sur les choix qu’elle a fait tout au long de sa vie. Fort gaffeuse et amusante, on ne peut s’empêcher de s’attacher à elle au fil des pages. La plume de l’auteure est agréable, fluide et très simple à lire. Presque poétique par moment. L’histoire se lit simplement, rapidement même si il m’a fallut une semaine pour le lire, les fois où je lisais, j’enchaînais 60 à 70 pages d’affilées sans m’en rendre compte. Le récit est captivant, l’intrigue simple mais néanmoins nous tiens en haleine et nous ne connaissons le dénouement des intrigues secondaires qu’à quelque pages du mot « Fin ». Carène Ponte a une façon bien à elle de nous amener les choses, tout en douceur et de façon assez étrange mais néanmoins pas dérangeante, de façon à ce que cela soit même logique. Ce récit est une leçon de vie à lui tout seul. A trop réfléchir à nos choix passés, est-ce que nous réfléchissons à ceux présent? Comment auraient ils pu influencer notre vie? Que se serait-il passé si nous avions tourner à droite à la place de tourner à gauche? Tant de petites questions que nous nous posons, même inconsciemment et qui nous permettent de nous identifier aux aventures de Maxine. Ce roman est une petite pépite que beaucoup de gens qui ne vivent pas le présent et continuent d’exister à travers le passé devrait lire. Pour comprendre. Pour vivre. Un récit feel-good à lire au bord d’une piscine lors d’une journée ensoleillée, avec un Mojito et une boite de cookies à l’épautre made in Claudia ( 😉 ) Bonjour, comment allez-vous? On se retrouve aujourd’hui pour une nouvelle chronique, après un long mois d’absence! Il s’agit de la chronique de ma dernière lecture; La Chienne de l’Ombre, le premier tome de la série « Les légendes Faes » parue aux éditions L’IvreBook. Mais avant cela, je remercie grandement l’auteure pour la confiance qu’elle m’a accordé en m’envoyant cet ebook en service presse! Allez, c’est parti! RESUME Faëry, sous le règne de l’Empereur Fenrír. Melyan est une bâtarde. Mi-fomoire mi-fée, elle a pour unique ambition de devenir une grande guerrière, digne de son héritage. Elyalë est une banshee. Magicienne aux pouvoirs terrifiants, elle est aussi la martyre de l’Empereur. Tout les oppose, et elles se connaissent à peine. Pourtant, elles sont demi-sœurs. Un coup du sort les rapprochera, mêlé à un même désir : celui de survivre dans les ténèbres. Et de ne surtout pas succomber aux promesses du dieu-dragon Déchu… MON AVIS Alors, il m’a fallut pas mal de temps pour lire les 50 premières pages de cette histoire. Pourquoi? Car ca ne bougeait pas. Mais quand j’y repense, c’est normal. L’auteure posait les bases de son histoire, de son monde, de ses personnages. Je connaissais le style de l’auteure, grâce à son autre roman « Nechtàanomicon », une autre saga basée sur le même type de récit; la dark-fantasy. J’ai beaucoup apprécié retrouvé sa plume, son style fluide et agréable à lire. Les personnages ne sont pas habituels, représentant tous ce que l’on pourrait qualifier de « méchants » dans une histoire normale. J’ai beaucoup aimé le personnage de Melyan, à cause de son côté plus humain, malgré son absence de sentiment qu’elle dissimule derrière un masque de pierre. Cependant, une fois les cinquante premières pages passées, on ne peut s’empêcher de s’y attacher, de se voir en eux sur certains points. L’histoire en elle-même est sous certains points plutôt classique, mêlant quête, bataille et divinité déchue. C’est toutefois plutôt agréable de lire la lire. Certains points m’ont cependant légèrement dérangé, comme le viol de certains personnages ou même de quelques fées. Je sais que, connaissant le penchant sadique de l’auteure et le thème de l’histoire, j’aurais dû m’y attendre, mais, ces scènes m’ont laissées un drôle de gout en bouche, je dois bien vous l’avouer. J’ai également relevé quelques petites fautes et coquilles dans le texte mais elles n’ont pas gêné plus que cela ma lecture. En bref, j’ai eu un peu de mal à rentrer dedans mais une fois le cap passé, j’ai enfin pu me plonger dans cette histoire où se mêlent des personnages que l’on apprécie suivre, une plume agréable et une intrigue plutôt sympa! Bonjour à toutes et à tous! Comment allez-vous? On se retrouve aujourd’hui pour une nouvelle chronique! Je vais vous parler de la prochaine parution des éditions Rise : AliN. J’ai eu la chance de le recevoir avec deux semaines d’avance et je leur dis un grand merci à cause de cela! Résumé Le collège, c’est l’enfer. Surtout depuis que Guillaume et sa bande m’ont pris pour cible. Moqueries, coups bas, brimades, ils s’acharnent sur moi et je subis, paralysé par la peur. Lili, ma meilleure amie, est également devenue leur souffre-douleur. Guillaume nous a éloignés l’un de l’autre et je n’arrive plus à atteindre celle que j’aime… Sauf lorsque je prends mon violon et qu’elle chante. Alors, je me sens pousser des ailes. Ces ailes que la réalité nous coupe, dès que nous mettons un pied au collège. Comment nous envoler à nouveau et retrouver notre liberté ? Mon avis Cela n’aurait été que moi, je me serais contenté d’une phrase pour cette chronique : foncez lire ce livre. Malheureusement, mon devoir de blogueur m’oblige à développer, surtout que j’ai reçu ce roman en SP… La plume de l’auteure est très simple, très légère. Elle est néanmoins remplie de poésie, de mélancolie, de colère,… D’un tas de sentiment indescriptible qui rend cette lecture si particulière. J’ai un peu de mal à décrire les sentiments que l’on ressent en tournant les pages de ce roman… Les personnages principaux, sont tous simplement humains, ni plus ni moins. Dans ce roman, nous ne tombons pas dans le cliché des autres romans traitant du harcèlement scolaire, où l’harcelé devient soudainement badasse ou continue de jouer la victime jusqu’à la dernière page. Non. Ici, nous voyons Lili et le narrateur grandirent, mûrirent. Nous vivons avec eux cette sortie du harcèlement, même si à certains moments, je trouve que l’auteure a exagéré certains aspects afin de nous faire ressentir encore plus ce que les victimes vivent. L’anti-héro, Guillaume est un garçon tout ce qui est de plus détestable, on ne comprend pas les raisons qui le poussent à agir, à être ce qu’il est. Je l’ai haï. Purement et simplement. J’ai été victime de harcèlement moi-même et dans ses gestes, dans ses paroles, j’ai retrouvé certains des propos, certaines des idées qu’avaient eues mes propres harceleurs. Traité moi d’idiot mais c »est à présent un fait : j’ai détesté au plus haut point un personnage pour ce qu’il représente. La romance est légère, même si il s’agit d’un des points-clés de l’histoire, même si c’est elle qui fait que les protagonistes principaux se rebellent, elle n’empiète pas sur le reste du roman et j’ai beaucoup aimé ce fait. L’intrigue est bien ficelée, le roman addictif; je l’ai lu en à peine deux heures. Il faut dire que sa taille; 130 pages, aide beaucoup à cela mais c’est ce qu’il nous faut pour tomber sous le charme de cette histoire. En conclusion, une plume excellente, des personnages, humains pour la plupart, une belle histoire et une romance mignonne et toute douce. Tous les ingrédients pour une très bonne lecture! Longue vie à AliN! Bonjour à toutes et à tous! Comment allez-vous? On se retrouve aujourd’hui pour la chronique de ma première lecture de juin, qui en compte déjà deux, pour seulement 4 jours, un exploit! Alors, il s’agit de la chronique du nouveau roman d’Alexiane de Lys, une jeune auteure qui a déjà beaucoup fait parler d’elle, avec sa saga « Les Ailes d’Émeraude »! Elle nous livre cette fois le premier tome d’une nouvelle trilogie : Le secret de Lomé! Je remercie les éditions Michel Lafon pour ce service presse et leur confiance! Résumé Un destin à accomplir, un peuple à libérer Lomé mène une vie parfaite, jusqu’au jour où, lors d’une excursion, elle tombe au fond d’une grotte et resurgit dans une contrée inhospitalière et terriblement dangereuse : Bâl’Shanta. Dans ce monde peuplé de créatures extraordinaires, la jeune fille, qui a toujours obtenu ce qu’elle voulait, découvre une civilisation organisée en castes et se retrouve assimilée à celle des esclaves. Pour survivre et espérer rentrer chez elle, Lomé devra faire preuve d’une grande force de caractère et se battre. Heureusement elle pourra compter sur le soutien d’alliés inattendus… Mon AvisTout d’abord, je tiens à souligné un point : le travail qu’il y a eut sur la couverture de ce roman que je trouve juste absolument magnifique! Je pense que vous aussi sûrement! La plume de l’auteure est très agréable à lire. Elle possède une petite touche poétique et un vrai travail a été accompli dans la rédaction de cette ouvrage, un fin mélange de vocabulaire moderne et de termes anciens, ce qui rend le tout assez… étrange mais néanmoins très plaisant à lire! Le personnage principal, Lomé est une héroïne assez intrigante. Au début de l’histoire, elle est narcissique, nombriliste et assez imbue de sa personne mais plus les pages se tournent et plus nous nous apercevons de la profondeur de ce personnage, de la façon dont elle change. Je l’ai beaucoup apprécié à cause de cela. Les autres personnages, qu’ils s’agissent d’Orianne,… ils sont tous très bien construits, très humains,… Je tire mon chapeau à Alexiane pour cela! L’intrigue est assez classique en soi mais est amenée d’une manière différente, ce qui fait que cela donne un vent de fraîcheur à l’histoire. L’auteure nous mène par le bout du nez pendant une grande partie du récit bien qu’une bonne partie de l’intrigue soit facilement devinable avec un peu de logique et de bon sens en plus d’une bonne observation. J’ai adoré lire ce livre, je l’ai lu sur toute ma journée du premier juin, dévorant littéralement les aventures de Lomé et de ses compagnons! Je conseil vivement cette histoire à tous les férus de fantastique et de fantasy! Bonjour à toutes et à tous, comment allez-vous? Nous nous retrouvons aujourd’hui pour une nouvelle chronique, celle de ma dernière lecture! Il s’agit du deuxième tome de la saga GIVRE de Jean Vigne, La Naissance, édité aux éditions du Petit Caveau. J’ai reçu ce roman en partenariat avec eux, il y a de cela trois mois, et j’ai chroniqué le tome un au milieu du mois d’avril, vous pouvez d’ailleurs retrouvé ma chronique sur le blog! Résumé Ange a vaincu, Paris est sauvé. Tout est bien qui finit bien… Mais, dans la vraie vie, rien n’est jamais aussi simple. Les relents du mal rôdent toujours dans les rues de la capitale. Le pire viendra-t-il de ce mystérieux politicien en charge de former la division Givre ? D’Auguste, ce bellâtre vampire au regard de miel et aux paroles de soie ? De l’arrivée inopinée d’Erika, mystérieuse créature aussi belle qu’inquiétante? Ou d’ailleurs, d’un danger insoupçonnable pour Ange… Un péril impossible à prévoir pour la policière… Mon Avis Alors, la plume de l’auteur est toujours aussi agréable à lire! L’intrigue est toujours aussi bien ficelée, l’histoire vous tient en haleine du début à la fin du récit. Bien que certaines choses soient plus évidentes que d’autres, nous n’arrivons pas vraiment bien à savoir où l’auteur a décidé de nous mener. Le personnage d’Ange est toujours aussi sympathique à suivre. Cette policière est un sacré brin de femme au caractère bien trempé, mais, plus le temps passe et plus ce masque tombe, pour nous faire découvrir un personnage beaucoup plus profond que celui que nous rencontrons dans le premier tome de cette série. Le personnage d’Erika, lui, est beaucoup plus sombre, plus… effrayant. En ce qui concerne Auguste, nous ne le voyons pas énormément dans ce volet et il est là plus pour décorer qu’autre chose, ne servant pas à grand chose dans ce tome. La fin de cet épisode est un vrai Cliffangher et si je n’avais pas d’autres services presses à lire, je dévorerais le troisième sans tarder, mais, avec mes examens qui approchent à grand pas, il ne sera pas possible pour moi d’aller à la découverte de la suite de leurs aventures avant encore quelques semaines… Bref, une très très bonne lecture, un style toujours aussi plaisant, des personnages hauts en couleurs et une fin… qui nous laisse sur notre faim! Je conseil vivement aux amateurs de vampire! |